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Précampagne présidentielle 2024 :Ghazouani dans le Trarza

Vendredi 22 Décembre 2023

Le président Mohamed Cheikh El Ghazouani était dans la région de Rosso ce
vendredi, pour visiter plusieurs localités, prendre des bains de foules et surtout
lancer ou inaugurer, des projets de diverses portées économiques et sociales.


Précampagne présidentielle 2024 :Ghazouani dans le Trarza
Une intense activité de terrain dont l’objectif viserait à blinder le bilan à
présenter aux électeurs en perspective d’une candidature quasi certaine, à la
présidentielle 2024.
Le déplacement dans le Trarza a été précédé de visites au Hodh oriental, à
Nouadhibou et Atar. Il sera suivi d’un voyage à Kaédi le 28 décembre
prochain.
Dans toutes ces régions, le scénario est le même : Mohamed Cheikh El
Ghazouani a lancé des projets.
Une activité à travers laquelle les détracteurs du chef de l’Etat perçoivent
« plus de politique » que le souci de soulager des populations confrontées à un
quotidien de crise permanente.
Au-delà de ce débat entre chapelles politiques, la journée ce vendredi 22
décembre 2023, a été ponctuée par le lancement ou l’inauguration d’un
chapelet de projets, selon l’Agence Mauritanienne d’Information (AM).
Il s’agit « d’une ligne à Haute Tension de 225 KV d’une longueur de 205
kilomètres, dans la ville de Tiguent. Cet ouvrage « comporte 518 pylônes
métalliques à 2 circuits, un réseau de transport de 630mm d’une longueur de
1224 kilomètres, un fil de protection de 408 kilomètres, avec 24 paires de
fibres optiques ».
Le président de la République a également posé la première pierre « d’un projet
d’électrification de 13 villages du Trarza « grâce à la construction d’une ligne
moyenne tension de 33 KV, d’une longueur de 62 kilomètres, l’installation de 28
transformateurs électriques, la construction d’une ligne basse tension de 400
volts, d’une longueur de 90 kilomètres et 500 unités d’éclairage électriques ».
Ghazouani a aussi lancé « la construction d’un réseau routier urbain long de 8
kilomètres, d’un coût de 1,3 milliards d’anciennes ouguiyas, dans la ville de
Rosso ».







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LETTRE OUVERTE

Collectif International pour
la libération de Mohamed Bazoum

Excellences, Madame et Messieurs,
À la très haute attention de
Son Excellence Monsieur António Guterres, Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies,
Son Excellence Madame Ursula von der Leyen, Présidente de la Commission de l’Union Européenne,
Son Excellence Monsieur Mahamoud Ali Youssouf, Président de la Commission de l’Union Africaine,
Son Excellence Monsieur Omar Alieu Touray, Président de la Commission de la CEDEAO,
Objet : Appel à une mobilisation internationale urgente en faveur de la libération de SEM le président
Mohamed Bazoum, détenu arbitrairement au Niger depuis le 26 juillet 2023.
Nous, personnalités réunies au sein du collectif international pour la libération de Mohamed
Bazoum, avons l’honneur de vous lancer un appel solennel en faveur d’une action
concertée et résolue afin d’obtenir la cessation immédiate de la détention arbitraire
imposée au Président Mohamed Bazoum. Depuis le 26 juillet 2023, le président élu du Niger
est séquestré en compagnie de son épouse Khadija Bazoum par les autorités issues du
coup d’État militaire. Leur maintien en captivité constitue une violation grave et caractérisée
des normes les plus fondamentales du droit international.
Cette détention est en effet contraire aux obligations qui découlent du Pacte international
relatif aux droits civils et politiques, dont l’article 9 prohibe expressément la privation
arbitraire de liberté ; elle méconnaît également les dispositions de la Charte africaine des
Droits de l’Homme et des Peuples garantissant la liberté individuelle et le droit à un procès
équitable. Elle s’inscrit en rupture directe avec la Constitution nigérienne, qui encadre
strictement les conditions dans lesquelles un président démocratiquement élu est
susceptible d’être démis de ses fonctions ou privé de liberté. Elle intervient en contradiction
de l’arrêt rendu par la Cour de justice de la CEDEAO en décembre 2023, qui a exigé la
libération immédiate du Président et de son épouse... Elle fait fi de l’avis du groupe de travail
de l’ONU sur la détention arbitraire qui a qualifié en février dernier la séquestration du
président « d’arbitraire » et appelé là encore à sa libération immédiate. Aucun chef
d’accusation recevable, aucune procédure légale valable et aucune garantie procédurale
minimalement conforme aux standards internationaux n’ont été présentés à ce jour.

Voir la lettre en Pdf
 


12/12/2025